"Blue bossa"
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30/11/24
27/11/24
GRANDS MUSICIENS DE JAZZ - Lionel Hampton - (6)
"Midnight sun"
La santé de Lionel Hampton décline au début des années 1990, et en 1991 il est pris d'un malaise lors d'un concert à Bobino (Paris).
Lionel Hampton s'éteint à New York le 31/08/2002, des suites d'un malaise cardiaque. Il était âgé de 94 ans.
PlanèteJazz
26/11/24
22/11/24
GRANDS MUSICIENS DE JAZZ - Lionel Hampton - (5)
'I don't mean a tink"
Il quitte Benny Goodman en bons termes, en 1940, pour créer son premier big band. La popularité de celui-ci, qui va durer vingt ans, commence avec l'enregistrement de "Flying Home" en 1942, où un solo du saxophoniste ténor Illinois Jacquet ouvre la voie au Rhythm & Blues. En 1944 Hampton enregistre "Flying Home, Number Two" avec le remplaçant d'Illinois Jacquet, Arnett Cobb.
En 1953 l'orchestre fait une tournée européenne avec en vedette le trompettiste Clifford Brown, le saxophoniste Gigi Gryce, le pianiste George Wallington, le trompettiste Art Farmer, la chanteuse Annie Ross et le trompettiste/arrangeur Quincy Jones.
Hampton continue par ailleurs de s'illustrer comme sideman, aux côtés d'Oscar Peterson, Art Tatum, Buddy DeFranco, Stan Getz, etc.
En 1955, il tourne dans le film "The Benny Goodman Story".
A partir des années 1960, son répertoire cesse de s'accroitre et il tourne essentiellement sur ses standards des décennies précédentes, "Hamp's Boogie Woogie", "Hey Ba-Ba-Re-Bop", "Flying Home", etc. Mais il ne perd rien de son charisme légendaire et ses concerts continuent d'enthousiasmer un large public.
20/11/24
A LA RENCONTRE DE : Horace Silver
"Song for my father"
Né le 2 septembre 1928 à Norwalk, Horace Silver est l’un des pianistes majeurs du style Hard Bop, mais aussi de la Soul Music. Il commence sa carrière comme saxophoniste (repéré par Stan Getz qui l’engage à ses côté). Il rejoindra rapidement New York où il adoptera définitivement le piano et s’affirmera comme compositeur. En 1953, il va fonder avec Art Blakey, le célèbre groupe des « Jazz Messengers », qu’il quittera en 1956 pour fonder son propre orchestre, qui, à l’instar des « Jazz Messengers », participera à la découverte de nombreux jeunes talents ! Son style est très inspiré de Gospel et de Blues.
DocteurJazz
18/11/24
A LA RENCONTRE DE : Sonny Rollins
"St. Thomas"
Né le 7 septembre 1930 à New York, Sonny Rollins est l’un des musiciens les plus importants du jazz moderne des années 50 et 60, il est également un créateur prolifique. Ses compositions sont jouées par les jazzmen du monde entier (Oleo, Saint Thomas, Airgin, Doxy…). Il commence très jeune par étudier le piano, mais il choisit rapidement le saxophone. Il apprendra son métier auprès de musiciens bebop tels que Charlie Parker ou Thelonious Monk.
Il se fait rapidement un nom, et il est l’un des premiers à jouer en trio sans piano. Il est impossible de citer les innombrables célébrités du jazz avec lesquelles il a joué et enregistré… 65 ans de carrière ! Quelques-uns de ses albums indispensables : « Tenor Madness », « Saxophone Colossus », « Way Out West », « Freedom Suite »…
DocteurJazz
16/11/24
A LA RENCONTRE DE : Curtis Fuller
Né le 15 décembre 1934 à Détroit, Curtis Fuller est élevé dans un orphelinat. Il débute sa carrière en 1953 avec les frères Cannonball et Nat Adderley. Il jouera avec les plus grands noms du jazz des années 50 et 60, comme Miles Davis ou John Coltrane, notamment dans le célèbre album « Blue Train » qui resta une référence absolue du style Hard Bop. Sa discographie en tant que sideman est impressionnante ! Il possède un son de trombone très chaud et un phrasé délicat.
DocteurJazz
14/11/24
12/11/24
GRANDS MUSICIENS DE JAZZ - Lionel Hampton - 4 -
"Flying home"
...Il quitte Benny Goodman en bons termes, en 1940, pour créer son premier big band. La popularité de celui-ci, qui va durer vingt ans, commence avec l'enregistrement de "Flying Home" en 1942, où un solo du saxophoniste ténor Illinois Jacquet ouvre la voie au Rhythm & Blues. En 1944 Hampton enregistre "Flying Home, Number Two" avec le remplaçant d'Illinois Jacquet, Arnett Cobb.
En 1953 l'orchestre fait une tournée européenne avec en vedette le trompettiste Clifford Brown, le saxophoniste Gigi Gryce, le pianiste George Wallington, le trompettiste Art Farmer, la chanteuse Annie Ross et le trompettiste/arrangeur Quincy Jones.
Hampton continue par ailleurs de s'illustrer comme sideman, aux côtés d'Oscar Peterson, Art Tatum, Buddy DeFranco, Stan Getz, etc...
PlanèteJazz
11/11/24
10/11/24
GRANDS MUSICIENS DE JAZZ - Lionel Hampton - (3)
"Cute"
...Puis Hampton quitte Les Hite pour jouer dans son propre groupe, au club "Paradise Cafe" de Los Angeles. C'est là que le clarinettiste et chef d'orchestre Benny Goodman le remarque en 1936, et l'engage dans son quartette, avec le pianiste Teddy Wilson et le batteur Gene Krupa.
La popularité du soliste monte en flèche, suite aux performances du quartette au Carnegie Hall, dans des émissions de radio, et au cinéma. Ce groupe était en outre un modèle d'ouverture, rassemblant musiciens noirs et blancs.
Parallèlement à son travail avec Goodman, il dirige une série de petites formations autour de solistes emblématiques, immortalisant ainsi quelques grands moments du Swing (cf. son disque "1937-1940: Small Combos", avec entre autres Johnny Hodges, Coleman Hawkins, Charlie Christian, Nat King Cole, Benny Goodman, Dizzy Gillespie, etc).
PlaneteJazz
08/11/24
GRANDS MUSICIENS DE JAZZ - Lionel Hampton - (1908-2002) - 2 -
"Stealing apples"
Né à Louisville, Kentucky, il s'installe avec sa famille à Chicago en 1916. Il commence par apprendre le xylophone dans les années 1920, puis se met à la batterie à la "Holy Rosary Academy".Il commence sa carrière comme batteur dans l'orchestre des "Chicago Defender Newsboys", puis dans celui des "Dixieland Blue-Blowers", Californie (1927-1928).
C'est dans le groupe de Paul Howard, les Quality Serenaders, qu'il effectue son premier enregistrement.
Il intègre ensuite le groupe de Les Hite, toujours en qualité de batteur. En 1930, alors que Les Hite et sa formation accompagnent Louis Armstrong, celui-ci demande à Hampton de troquer momentanément ses baguettes de batteur contre celles de vibraphoniste.
L'essai se révèlera positif, à la fois comme déclencheur de la nouvelle vocation de Lionel Hampton, et comme avènement d'un nouvel instrument de jazz à part entière.
PlaneteJazz
07/11/24
GRANDS MUSICIENS DE JAZZ : Lionel Hampton (1908-2002)
"On the sunny side of the street"
Lionel Leo Hampton (20/04/1908 – 31/08/2002), surnommé "Hamp", était un vibraphoniste, percussioniste, pianiste et chef d'orchestre américain. A l'instar de Red Norvo, il donne ses lettres de noblesse au vibraphone dans l'instrumentation jazz. Sa longue et prolifique carrirère traverse toute l'histoire du jazz, et son nom est associé à ceux de Louis Armstrong, Benny Goodman, Buddy Rich, mais aussi Dexter Gordon, Charles Mingus, Charlie Parker et Quincy Jones.
Il restera toujours fidèle au Swing, qu'il enrichira au fil de ses enregistrements et des influences musicales extérieures.
PlazneteJazz
06/11/24
JAZZ NEWS - Quincy Jones est mort
"Killer Joe"
Ce dimanche 3 novembre, Quincy Jones s'est éteint à l'âge de 91 ans, laissant derrière lui de nombreux orphelins de la musique. Mais avec soixante-neuf nominations aux Grammy Awards, un record absolu de ventes d'albums, et un premier titre joué sur la lune, l'âme de Quincy n'est pas prête de s'éteindre.
Pourtant, l'histoire ne commençait pas bien. Ou tout du moins, difficilement : il grandit dans un environnement violent, avec un père directement lié au gang des Jones Boys, adversaires virulents du célèbre gangster Al Capone. Quincy Jones grandit vite, confronté à la violence du monde. A 11 ans, il fuit la pègre avec son père, et pour survivre, enchaîne les cambriolages. C'est lors de l'un d'entre eux qu'il rencontre le premier grand amour de sa vie, un piano.
La musique devient alors son seul moyen d'expression : il choisit d'abord le trombone, puis la trompette, une vraie révélation. C'est Clark Terry et Duke Ellington qui lui enseignent les rudiments de l'industrie, et de toute évidence, il a ça dans le sang. A 13 ans, Quincy enflamme déjà les clubs de la ville, en compagnie d'un certain Ray Charles. A sa majorité, il obtient une bourse qui lui permet d'intégrer la prestigieuse école de Berklee College of Music, et se fait engager dans l'orchestre de Lionel Hampton.
Puis les succès s'enchaînent : il devient le directeur artistique d'Eddie Barclay pour Mercury Records, et devient l'un des premiers Afro-Américains à avoir ce genre de poste. En parallèle, Quincy brille pour la composition de musiques de films, de Prêteur sur gages à La Couleur Propre. Mais c'est en sa qualité de producteur qu'il rencontre Aretha Franklin à ses 12 ans, Stevie Wonder à ses 12 ans, et aussi, un certain Michael Jackson. De cette rencontre naît un succès planétaire : l'album Thriller, vendu à 70 millions d'albums dans le monde, et encore détenant du titre à l'heure actuelle.
Et si Quincy a flirté entre la pop, la soul, le R&B, et même la bossa nova comme on vous l'expliquait dans notre histoire de jazz, les jazzmen lui restent fidèles, avec un respect infini. D'ailleurs, en dernier hommage, Quincy Jones a dirigé le dernier concert de Miles Davis à Montreux en 1991. Une vie à cent à l'heure, que Quincy a consummé sans jamais s'arrêter, guidé par sa passion dévorante pour la musique et son activisme. Un artiste qui continue, et continuera d'inspirer les musiciens du monde entier.
JazzRadio
05/11/24
A LA RENCONTRE DE : Clifford Brown
"Daahoud"
Né le 30 octobre 1930 à Wilmington dans le Delaware, Clifford Brown était un trompettiste original et novateur. Personnage très discret, il a pourtant joué avec les plus grands musiciens des styles Bebop et Hard bop des années 1940 et 1950, comme les trompettistes Miles Davis et Dizzy Gillespie ou le saxophoniste Charlie Parker…
Il sera engagé dans l’orchestre des « Jazz messengers » d’Art Blakey. Son jeu à la fois lyrique et virtuose, influencera beaucoup de trompettistes, comme Freddy Hubbard, Lee Morgan ou même Wynton Marsalis. Il sera victime d’un accident de voiture à l’âge de 26 ans…
DocteurJazz
04/11/24
03/11/24
02/11/24
A LA RENCONTRE DE : Shelly Manne
"The fan tang"
Né le 11 juin 1920 à New-York, Shelly Manne étudie le saxophone avant de se fixer sur la batterie. Il commence sa carrière comme batteur de Big Band (Benny Goodman, Woody Herman, Stan Kenton). En 1952, il s’installe en Californie, et commence à jouer avec toutes les stars de la côte ouest (Art Pepper, Jimmy Giuffre…). Le premier album sous son nom en 1953 « The West Coast Sound » va faire date et devenir une référence de ce style. Parmi ses collaborations importantes, on peut citer les « Poll Winners » avec Ray Brown et Barney Kessel, ou le « Shelly Manne & His Men » avec André Prévin (piano) et Leroy Vinnegar (basse).
Shelly Manne sera également un musicien de studio très apprécié. Il travaille pour le cinéma et la TV et composera même la musique de la série « Daktari ».
DocteurJazz
01/11/24
NEWS - Young Lion - le titre poignant de Sade qu'elle dédie à son fils
"Young lion"
Voilà 6 ans que Sade ne nous avait pas offert de nouveaux titres, elle qui se faisait discrète sur la scène médiatique. Cette fois-ci, elle est de retour avec un titre puissant, "Young Lion". Un morceau qui n'est pas sans symbolique pour la chanteuse. En effet, le titre s'inscrit dans un projet bien plus conséquent, porté par l'ONG Red Hot. Son objectif ? Soutenir la lutte contre le SIDA, mais aussi sensibiliser aux questions autour de la transidentité et mettre en lumière les artistes transgenres et non binaires.
Avec Young Lion, Sade est l'une des artistes qui participe à la compilation TRAИƧA, prévue pour le 22 novembre, et qui rassemble de nombreux autres artistes, comme André 3000, Moses Sumney ou encore Sam Smith. TRAИƧA est structuré en huit chapitres et contient 46 titres créés par plus de 100 artistes. Conçu pour mettre en avant les voix trans et non-binaires, l'album inclut aussi des collaborations inédites comme Ever New par Sam Smith et Beverly Glenn-Copeland et une reprise de I Would Die 4 U de Lauren Auder.
Une déclaration d'une mère à son fils
Dans Young Lion, Sade adresse un message poignant et sincère à son fils Théo Izaak, qu'elle a toujours soutenu dans son choix de faire une transition. Dans cette chanson, elle lui exprime à la fois tout son amour, mais aussi ses regrets : elle se met à sa place, et n'ose imaginer toute la solitude et les difficultés qu'il a du affronter, soulignant sa propre prise de conscience tardive, pour laquelle elle s'excuse. Accompagnée d'un piano minimaliste, la voix profonde de Sade donne au morceau une atmosphère à la fois douce et grave, illustrant toute son affection pour son fils et son soutien indéfectible.
Ce thème résonne particulièrement auprès de ceux qui suivent le fils de la chanteuse dans son parcours public de transition, où il partage régulièrement les hauts et les bas de son expérience. En 2019, il remerciait déjà sa mère pour son soutien dans cette phase de sa vie. Dans Young Lion, Sade lui répond en musique, célébrant sa résilience, son courage, et leur amour.
JazzRadio
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BELLES VOIX FEMININES DU JAZZ - Nina Simone - Little girl blue
"Little girl blue"