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28/04/22

DESTINATION JAZZ - La Nouvelle-Orléans, Louisiane : le berceau du jazz

Temple de la musique et de la danse depuis toujours, La Nouvelle-Orléans a contribué à l’avènement du jazz à travers ses influences culturelles créoles, africaines, françaises et espagnoles. Des prémices du jazz de Buddy Bolden, originaire de La Nouvelle-Orléans, jusqu’à aujourd’hui, avec des artistes comme Harry Connick Jr. et Wynton Marsalis, celle que l’on surnomme « Crescent City » est une source d’inspiration pour les musiciens. Visitez le New Orleans Jazz Museum pour découvrir toute une collection d’artefacts sur la musique. Promenez-vous dans l’avenue animée de Frenchmen Street, où les mélodies s’échappent des salles de concert comme The Spotted Cat Music Club et Three Muses. Preservation Hall et Little Gem Saloon font partie des autres endroits à visiter pour explorer l’histoire du jazz et voir des artistes de renom sur scène. Venez fin avril et début mai pour assister au New Orleans Jazz & Heritage Festival.

VisitTheUsa

26/04/22

MUSIC - HIistoires de Jazz - Thelonious Monk

"The man I love"
Parmi les génies que compte le jazz américain, Thelonious Sphere Monk est certainement le plus étrange, le plus singulier. Il se dresse dans le paysage du jazz comme un mégalithe énigmatique. Voici l'incroyable destin de ce musicien dans une Amérique raciste et en proie à la ségrégation.
Personne ne l’avait vu venir, Monk, avec ses airs d’ours bourru, gourmand et solitaire, qui assène ses certitudes d’autodidacte à coups de griffes, autant de mélodies insolites et d’accords bizarres.


Personne ne l’avait entendu venir à cause de son incapacité à dire les choses. Ainsi lorsqu’on lui demanda le titre du tout premier morceau qu’il venait de graver, il répondit d’un dubitatif grognement sourd, sa façon à lui de s’exprimer, qu’un assistant polyglotte décryptera comme "Humph", tel est resté le titre mystérieux du morceau. Autant dire que cet homme-là ne parlait déjà pas tout à fait le langage admis.


FranceCulture

16/04/22

CENSURE - Facebook ou le pouvoir de l'arbitraire !

 


Pour des motifs de lui seul connus, Facebook a bloqué - depuis des années - les blogs ci-dessous : 

https://joanmira-6-oldies.blogspot.com/   -   Blog 6 - Yesterday
https://joaanmira.blogspot.com/   -   Blog 7 - Kingston
https://joanabmira.blogspot.com/   -   Blog 8 - Omnia Et Caetera - Hors normes

Nous n'avons en rien enfreint les règles de la maison ; les blogs en question traitent, respectivement de : 
- images et musiques du passé
- musique reggae, ragga et rap
- faits extraordinaires et hors normes

Nous avons, bien évidemment, réitéré des demandes d'explication à Facebook, sans réponse à ce jour...

C'est pourquoi nous lançons un appel à nos lecteurs pour qu'ils nous aident dans notre quête de respect de la liberté d'expression.

Merci,
Thank you
Obrigado
Gracias.

16-04-2022
JoanMira 

MUSIC - Histoires de Jazz - Charles Mingus

<Moanin'>
Contrebassiste et pianiste de légende, il a joué avec les plus grands musiciens de jazz du siècle. Décrit comme "un homme noir aux Etats-Unis… en colère tous les jours", Mingus fait de sa musique une voix s’élevant contre le racisme et la traite des noirs en Amérique.

Reconnu pour son influence immensurable sur le jazz autant comme contrebassiste que pianiste et même compositeur, Charles Mingus demeure aujourd’hui l’un des plus grands musiciens de l’histoire du jazz. Allant du be-bop au free jazz collectif, l’œuvre de Mingus fait preuve d’une multiplicité d’influences : la musique classique, le swing, le blues, le gospel, et le be-bop de Duke Ellington. Décrit comme « un homme noir aux Etats-Unis… en colère tous les jours », Mingus fait de sa musique une voix s’élevant contre le racisme et la traite des noirs en Amérique.





Charles Mingus, c'est un jazz plus libre avec des
parties entièrement improvisées. Compositeur, 
contrebassiste et pianiste célèbre, il gravit 
rapidement les échelons du bebop au hard bop.
Crédits : Bettman - Getty

FranceCulture

14/04/22

MUSIC - Histoires de Jazz - Louis Armstrong

"When it's sleepy time down south"


Né avec le XXe siècle à La Nouvelle-Orléans, Louis Armstrong est un pionnier du jazz. Grâce à lui, cette musique qui n'était qu'un folklore limité au sud des Etats-Unis est devenue un langage universel, une musique-monde.

Dans le train qui le ramène vers sa ville natale, Louis Armstrong mesure le chemin parcouru. Il a trente ans. Déjà il a triomphé à New York et imposé à toute l’Amérique le style « New Orleans ». Rien n’était joué d’avance, pourtant, pour le petit Noir fasciné de bonne heure par la musique des bouges, dans le quartier des prostituées et des voyous. Il a connu la misère, le vagabondage, la discipline austère du foyer pour enfants abandonnés, les petits métiers pour ne pas mourir de faim. Jusqu’au moment où le cornettiste King Oliver l’a pris sous son aile et lui a transmis ses secrets…
Géniaux marginaux, inspirations divines, jupes retroussées backstage , élégances cravatées ou déchéances le garrot autour du bras, mécènes fantasques, sessions mythiques, démences, volutes et fulgurances : le jazz contient dans l’odyssée qui l’a vu naître tous les ingrédients qui font les dramaturgies bien balancées. Ici, on explorera donc ce que le jazz américain a, depuis ses origines, à nous raconter au creux de l’oreille, sous formes de mini fictions inspirées d’histoires absolument authentiques.


FranceCulture

12/04/22

MUSIC - Histoires de Jazz - Thelenious Monk

"Round midnight"
Parmi les génies que compte le jazz américain, Thelonious Sphere Monk est certainement le plus étrange, le plus singulier. Il se dresse dans le paysage du jazz comme un mégalithe énigmatique. Voici l'incroyable destin de ce musicien dans une Amérique raciste et en proie à la ségrégation.

Personne ne l’avait vu venir, Monk, avec ses airs d’ours bourru, gourmand et solitaire, qui assène ses certitudes d’autodidacte à coups de griffes, autant de mélodies insolites et d’accords bizarres.

Personne ne l’avait entendu venir à cause de son incapacité à dire les choses. Ainsi lorsqu’on lui demanda le titre du tout premier morceau qu’il venait de graver, il répondit d’un dubitatif grognement sourd, sa façon à lui de s’exprimer, qu’un assistant polyglotte décryptera comme "Humph", tel est resté le titre mystérieux du morceau. Autant dire que cet homme-là ne parlait déjà pas tout à fait le langage admis.

Géniaux marginaux, inspirations divines, jupes retroussées backstage , élégances cravatées ou déchéances le garrot autour du bras, mécènes fantasques, sessions mythiques, démences, volutes et fulgurances : le jazz contient dans l’odyssée qui l’a vu naître tous les ingrédients qui font les dramaturgies bien balancées. Ici, on explorera donc ce que le jazz américain a, depuis ses origines, à nous raconter au creux de l’oreille, sous formes de mini fictions inspirées d’histoires absolument authentiques.
FranceCulture

06/04/22

SUR LA ROUTE DU BLUES - La Nouvelle-Orléans, à la croisée du blues et du jazz

© Anissa Hammadi

La fusion du blues et du jazz à La Nouvelle-Orléans permet de finir en beauté ce voyage musical, après 540 km de route depuis Clarksdale.

À l’extrémité ouest du French Quarter, la House of Blues (225, Decatur St) n’a rien de vraiment intime ou authentique : l’enseigne est une chaîne, mais de bons artistes comme Jimmy Cliff y passent. « In blues we trust », telle est la devise de cette immense salle de concert. L’entrée est assez chère : 20-60 $, selon l’artiste.


Sinon, beaucoup de musiciens de rue très talentueux animent la ville. Le pourboire vous reviendra moins cher et c’est plus sympa !


Sur Royal Street, la boutique Vintage 329 fera le bonheur des aficionados du blues. Spécialisée dans les objets dédicacés, elle propose par exemple une guitare signée par BB King, une photo d’Elvis Presley dédicacée par lui-même ou celle de Martin Luther King griffonnée d’une citation. Des pièces uniques, mais pas destinées à toutes les bourses : il faut compter entre 3 300 $ et 7 000 $ l’unité.


En soirée, Frenchmen Street, moins tapageuse que Bourbon Street, se révèle la rue la plus agréable de la ville. Des fanfares claironnent jusqu’au bout de la nuit, mêlant jazz et blues. Le Bamboula’s (514, Frenchmen St) propose des concerts live (entrée gratuite). Bien d’autres bars jonchent la célèbre Frenchmen Street, mais le jazz y a déjà pris le pas sur le blues.


La Nouvelle-Orléans est une ville métissée par excellence, où se mêlent influences française, espagnole et créole, gastronomies américaine et cajun, rythmes jazz et blues. C’est donc ici, en Louisiane, que l’un des slogans du Mississippi prend tout son sens : « no black, no white, just the blues… ».


Routard

MUSIC - INCONTOURNABLES DE COUNT BASIE - One O’Clock Jump

"One O'Clock Jump" a été composé par Count Basie en 1937, en collaboration avec le saxophoniste Buster Smith et l'arrangeu...