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28/01/25

A LA DECOUVERTE DE : Billy Cobham

"Red baron"

Né le 16 mai 1944 à Panama, Billy Cobham s’installe à New York avec sa famille là l’âge de 3 ans. Il débute la batterie lorsqu’il a 4 ans et sera accepté à la High School Of Music à 14 ans. Sa carrière débute avec des musiciens comme Joe Henderson ou Horace Silver, puis avec Miles Davis. Mais il se crée bientôt un style propre au début des années 70, très influencé par le Rock et le Funk. Il collabore ensuite, en compagnie du guitariste John McLaughlin au Mahavishnu Orchestra, qui mêle Jazz, Rock et Fusion. 


Il se distinguera en jouant avec un set de batterie comprenant de nombreux Toms et accessoires, rompant ainsi la tradition « jazz » du set minimaliste… Il termine sa carrière en enseignant la batterie dans son école, la « Billy Cobham School of Drums ».

DocteurJazz

24/01/25

A LA DECOUVERTE DE : Marcus Miller


Né à New York le 14 juin 1959, Marcus Miller débute à la clarinette avant de se fixer sur la basse. Son père joue de l’orgue à l’église et lui apprend quelques rudiments, mais c’est en autodidacte qu’il va étudier la basse. 

Il collabore avec Miles Davis, et enregistre notamment l’album « Tutu » en 1980. Cet enregistrement va lancer sa carrière. On le retrouve ensuite aux côtés d’artistes comme : Al Jarreau, Claude Nougaro, Aretha Franklin, Stanley Clarke.

DocteurJazz

22/01/25

PETITES HISTOIRES DE JAZZ - Claude Nougaro - Ô Toulouse, de la rancune à l’amour


La célèbre chanson Ô Toulouse, ode d’amour à la ville de Toulouse, n’avait rien de joyeux dans sa première version. Installé à Paris depuis 1950 après son service militaire, Claude Nougaro signe en 1967 une chanson dans laquelle il exprime une certaine colère envers son enfance toulousaine qu’il estimait malheureuse. C'était une chanson « presque cruelle », affirme le chanteur l'émission Quatre saisons, en 1999.

Il révèle alors les premières paroles à sa compagne, mais cette dernière s’étonne du sentiment presque rancunier qui en ressort. Elle lui donne alors un sage conseil : « Quand on évoque sa ville, il faut en faire un chant d'amour et pas un chant de rancune ». C'est donc à la conjointe de Claude Nougaro que les Toulousains doivent la désormais célèbre ode à la Ville rose.

RadioFrance

A LA RENCONTRE DE : Joe Zawinul


D’origine hongroise et tchèque, Joe Zawinul est né à Vienne en Autriche, le 7 juillet 1932. Il débute en jouant de la musique traditionnelle tzigane à la trompette basse, mais il choisit finalement rapidement le piano. Il joue avec le saxophoniste Cannonball Adderley de 1962 à 1970 et se forge une solide réputation. Il rencontre Miles Davis avec qui il enregistre notamment l’album « Silent Way ». Au début des années 70, il fonde avec Wayne Shorter le groupe « Weather Report » qui rencontre un énorme succès. Il composera quelques grands succès comme « Mercy, Mercy, Mercy » ou « Birdland ». 


Bien qu’influencé par des pianistes classiques comme Nat King Cole ou George Shearing, Joe Zawinul développera un style très personnel et deviendra l’un des maîtres du synthétiseur.

DocteurJazz

20/01/25

A LA RENCONTRE DE : Wayne Shorter


Né le 25 août 1933 dans le New Jersey, Wayne Shorter est une figure très marquante du jazz Fusion. Également grand compositeur, il jouera dans des orchestres mythiques comme les « Jazz Messengers » (1959 à 1964), le quintet de Miles Davis (1964 à 1969) et sera l’un des fondateurs du célèbre groupe « Weather report » (1970 à 1985). 



Son quartet des années 2000 avec Brian Blade à la batterie, John Patitucci à la basse et Danilo Perez au piano est un modèle d’interaction et de musicalité. Ce quartet a enregistré « Footprints « en 2002 et « Alegria » en 2003.

DoctorJazz

17/01/25

A LA RENCONTRE DE : Julian Priester

"Just friends"

Né à Chicago le 29 juin 1935, le tromboniste Julian Priester jouera encore adolescent dans des groupes de Blues comme celui de Muddy Waters. Il débute sa carrière au début des années 50, dans le Big band de Sun Ra, puis aux côtés de stars comme Dinah Washington, Lionel Hampton, Art Blakey, et fera même une tournée au sein de l’orchestre de Duke Ellington ! 

En 1970, il rejoint le groupe de Fusion de Herbie Hancock. A la fin des années 70, il s’installe à Seattle et y enseigne la composition à la Faculté jusqu’à sa retraite.

DocteurJazz

13/01/25

A LA RENCONTRE DE : Donald Byrd - You and the music

"You and the music"

Né à Détroit, le 9 décembre 1932, Donald Byrd étudie à l’université avant de servir dans l’US Air Force au début des années 50. Il débute à la trompette aux côtés d’Art Blakey dans les « Jazz Messengers » et côtoie les meilleurs musiciens du Bebop et du Hard bop, comme Thelonious Monk, ou John Coltrane… 


Il forme son premier groupe en 1958 avec Pepper Adams et Herbie Hancock. C’est au début des années 70 qu’il va s’orienter vers le jazz Fusion, son album « Black Byrd » va être un énorme succès et sera vendu à plus d’un million d’exemplaires. Le titre de cet album va d’ailleurs inspirer le nom du groupe qu’il fonde en 1973 : « The Blackbyrds ». Il terminera sa carrière en s’intéressant au Rap.

DocteurJazz

12/01/25

MUSIC - The Modern Jazz Quartet - Jango


Avez-vous déjà entendu parler du disque du Modern Jazz Quartet, intitulé “Django” ? Ce symbole du genre vient tout juste de célébrer ses 70 ans !

L’album "Django" ne s’est pas enregistré en un claquement de doigts, bien au contraire. Il a fallu plusieurs années pour que le Modern Jazz Quartet mène son projet à bien. Et pour cause, les sessions d’enregistrement débutent le 25 juin 1953, à New York. Elles se terminent le 9 janvier 1955, dans le studio de Rudy Van Gelder, dans le New Jersey.

JazzRadio

10/01/25

MUSIC - JAZZ ET PROHIBITION - (1920-1933) - Bessie Smith - I'm down in the dumps

"I'm down in the dumps"

La période de la prohibition aux États-Unis (1920-1933) a été une époque fascinante pour le jazz. Pendant ces années, la vente, la production et la distribution d'alcool étaient interdites, ce qui a conduit à l'émergence de bars clandestins appelés "speakeasies". Ces lieux étaient souvent cachés derrière des façades innocentes et nécessitaient un mot de passe pour entrer.

Les speakeasies sont devenus des centres névralgiques pour la musique jazz. Les musiciens de jazz, souvent afro-américains, trouvaient dans ces établissements des opportunités pour se produire et expérimenter de nouveaux styles musicaux. Le jazz, avec son énergie et son improvisation, correspondait parfaitement à l'atmosphère clandestine et rebelle des speakeasies.

Des figures emblématiques du jazz comme Louis Armstrong, Duke Ellington et Bessie Smith ont vu leur carrière décoller pendant cette période. Le jazz est ainsi devenu un symbole de la culture de la prohibition, représentant à la fois la résistance à l'interdiction et l'esprit de liberté et de créativité.

La prohibition a donc joué un rôle crucial dans la diffusion et l'évolution du jazz, en le propulsant sur le devant de la scène culturelle américaine et en le rendant populaire auprès d'un public plus large.

09/01/25

MUSIC - JAZZ ET PROHIBITION - (1920-1933) - Duke Ellington - Jungle nights in Harlem

"Jungle nights in Harlem"

La période de la prohibition aux États-Unis (1920-1933) a été une époque fascinante pour le jazz. Pendant ces années, la vente, la production et la distribution d'alcool étaient interdites, ce qui a conduit à l'émergence de bars clandestins appelés "speakeasies". Ces lieux étaient souvent cachés derrière des façades innocentes et nécessitaient un mot de passe pour entrer.

Les speakeasies sont devenus des centres névralgiques pour la musique jazz. Les musiciens de jazz, souvent afro-américains, trouvaient dans ces établissements des opportunités pour se produire et expérimenter de nouveaux styles musicaux. Le jazz, avec son énergie et son improvisation, correspondait parfaitement à l'atmosphère clandestine et rebelle des speakeasies.

Des figures emblématiques du jazz comme Louis Armstrong, Duke Ellington et Bessie Smith ont vu leur carrière décoller pendant cette période. Le jazz est ainsi devenu un symbole de la culture de la prohibition, représentant à la fois la résistance à l'interdiction et l'esprit de liberté et de créativité.

La prohibition a donc joué un rôle crucial dans la diffusion et l'évolution du jazz, en le propulsant sur le devant de la scène culturelle américaine et en le rendant populaire auprès d'un public plus large.

08/01/25

MUSIC - JAZZ ET PROHIBITION - (1920-1933) - Louis Armstrong - Body and soul

La période de la prohibition aux États-Unis (1920-1933) a été une époque fascinante pour le jazz. Pendant ces années, la vente, la production et la distribution d'alcool étaient interdites, ce qui a conduit à l'émergence de bars clandestins appelés "speakeasies". Ces lieux étaient souvent cachés derrière des façades innocentes et nécessitaient un mot de passe pour entrer.

Les speakeasies sont devenus des centres névralgiques pour la musique jazz. Les musiciens de jazz, souvent afro-américains, trouvaient dans ces établissements des opportunités pour se produire et expérimenter de nouveaux styles musicaux. Le jazz, avec son énergie et son improvisation, correspondait parfaitement à l'atmosphère clandestine et rebelle des speakeasies.

Des figures emblématiques du jazz comme Louis Armstrong, Duke Ellington et Bessie Smith ont vu leur carrière décoller pendant cette période. Le jazz est ainsi devenu un symbole de la culture de la prohibition, représentant à la fois la résistance à l'interdiction et l'esprit de liberté et de créativité.

La prohibition a donc joué un rôle crucial dans la diffusion et l'évolution du jazz, en le propulsant sur le devant de la scène culturelle américaine et en le rendant populaire auprès d'un public plus large.

REMARQUABLES VOIX MASCULINES DU JAZZ - Eddie Fisher - Just in time

"Just in time"

ARRET DU BLOG

Ce blog, qui a démarré le 22-10-2011, s'arrête. Provisoirement (ou pas...) Si faute il y a, elle serait dûe à une faute d'inspirati...