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31/05/24

JAZZ NEWS - Jeunes talents - Lusaint - Fool for you

Originaire de Manchester, cette auteure-compositrice-interprète a fait vibrer les cœurs du monde entier avec son mélange envoûtant de jazz et de blues depuis sa percée en 2019. Avec plus de 50 millions de streams, elle a su captiver les auditeurs au-delà des frontières. En 2019, Lusaint a marqué les esprits en battant le record du plus grand nombre de Shazams en 24 heures, annonçant ainsi son arrivée remarquable sur la scène musicale. Les éloges de magazines pleuvent comme Wonderland Magazine et About Time tandis que ses titres sont mis en avant sur les plateformes de streaming. La reconnaissance de Lusaint s’étend ensuite aux ondes radio, avec le soutien substantiel de la BBC, d'abord à Manchester puis ailleurs puisque ses morceaux seront diffusés sur 39 stations différentes ! Le point culminant de son parcours musical (pour le moment) arrive avec l’annonce de son premier EP, "Self Sabotage", prévu pour l’été 2024. Produit par Blue May, collaborateur de renom d'artistes comme Joy Crookes, Jorja Smith, Lily Allen et Kano, cet EP promet d’être une exploration fascinante de l’art musical unique de Lusaint.

JazzRadio

30/05/24

JAZZ NEWS - Jeunes talents - Thomas Kahn - More than sunshine


Thomas Kahn, chanteur à l’histoire personnelle chargée d’émotions intenses, est reconnu pour son timbre de voix unique et ses qualités d’interprète. Sa voix évoque en effet les intonations épicées d’Otis Redding ou de Lee Fields, et quand la tempête se calme, c’est Ben Harper qui s’invite dans l’imaginaire de l’auditeur... Habité par la soul, il retrouve dans cette musique des valeurs de transmission, de sensibilité, de chaleur et y fait des récits de la vie ordinaire. Adolescent, il a appris à chanter en imitant les intonations et les mimiques des interprétations de "Georgia on My Mind", "Walk the Line" ou encore "Waiting in Vain". Après une adolescence mouvementée et des études inachevées, il enchaîne les petits boulots, parfois confronté à des histoires glauques ou violentes, ce qui le pousse à se recentrer radicalement sur l’essentiel : la musique. De 2013 à 2019, il enchaîne alors compositions, écriture et concerts, à tel point qu'il est rapidement surnommé le "Petit Prince de la soul moderne" par le magazine Rolling Stone. Thomas Kahn multiplie alors les premières parties pour de brillants artistes dans des salles prestigieuses telles que l’Olympia, la Cigale ou le Bataclan, lieux significatifs dans son parcours personnel.

JazzRadio

29/05/24

JAZZ NEWS - Jeunes talents - Laufey - From the start


Laufey est une chanteuse, compositrice, productrice et multi-instrumentaliste de 24 ans basée à Los Angeles, dont les chansons explorent l'amour et la découverte de soi. Élevée entre Reykjavík et Washington, avec des visites annuelles à Pékin, cette artiste sino-islandaise a grandi en jouant du violoncelle et du piano. Elle a découvert les standards de jazz d’Ella Fitzgerald en explorant la collection de disques de son père. En 2020, alors qu’elle est encore étudiante au Berklee College of Music, Laufey sort son premier single, "Street by Street", qui atteint les sommets des classements radio islandais. Après la sortie de son EP "Typical of Me" en 2021, Laufey est nommée "Meilleure nouvelle artiste de Jazz et de Blues" aux Icelandic Music Awards et anime son propre show sur BBC Radio 3 / BBC Sounds. Son premier album complet, "Everything I Know About Love", atteint immédiatement la première place du classement "Alternative New Artist Album" de Billboard, et le single principal "Valentine" se hisse à la première place du classement jazz de Spotify. En 2022, Laufey est l'artiste de jazz la plus écoutée sur Spotify, avec 425 millions d'écoutes. A suivre, assurément...

JazzRadio

28/05/24

JAZZ NEWS - Jeunes talents - Jalen Ngonda - Come around and love me (soul)


Bien sûr, le jazz est une musique dans laquelle les standards, les classiques ont une grosse importance, on ne dira jamais le contraire. D'ailleurs, c'est aussi une musique en perpétuel mouvement lancé dans une sorte d'éternel recommencement avec chacun sa propre version d'un morceau intemporel. Mais, c'est aussi un art dans lequel de jeunes talents se montrent, cassent les codes, expérimentent et font avancer les choses. La rédaction de Jazz Radio a choisi de vous en présenter et si jamais vous ne les connaissez pas encore, on ne saurait trop vous conseiller d'y jeter une oreille, voire les deux et de plonger dans ces univers foisonnants

Imaginez Marvin Gaye jeune. Une voix douce et soulful, une maitrise évidente du tempo, une présence, un charisme. Jalen Ngonda est clairement l'avenir de la soul moderne et soyons juste, il en est sans doute aussi un peu le présent. Auteur-compositeur et artiste doué, il mélange avec bonheur les influences soul classiques et contemporaines pour créer un son qui lui est propre. L'année dernière a vu la sortie de son premier album "Come Around And Love Me", acclamé par la critique et par le public. Deux nouveaux singles ont suivi en 2024, une évidence pour un artiste qui écrit des chansons tous les jours. Preuve que Jalen Ngonda ne laisse personne insensible, Snoop Dogg, Jill Scott, Kehlani, Olivia Dean ou encore Elton John ont parlé de lui comme d'un futur grand. Signé chez Daptone Records, un label indépendant funk et soul basé à Brooklyn, il travaille déjà sur son deuxième album, une bonne façon de partager sa musique qui peut insuffler la nostalgie de l'âge d'or de la soul mais aussi celle d'un artiste très bien dans son époque...

JazzRadio

26/05/24

JAZZ NEWS - Norah Jones livre une performance live incroyable pour "I Just Wanna Dance"


Norah Jones continue de s'imposer comme une artiste de référence du jazz vocal et du blues. A 45 ans, elle vient de sortir un tout nouvel album nommé "Visions" en mars dernier. Un disque plutôt bien reçu par la critique, convaincue par la chanteuse à la voix d'or. Pour ceux qui doutent encore de ses qualités, elle a sorti au début du mois le clip de la version live de "I Just Wanna Dance", extrait de son nouvel album. Un véritable petit bonbon auditif, où on retrouve la chanteuse accompagnée d'une petite troupe (batterie, guitare, piano, clavier et basse seulement), qui nous fait passer une belle émotion avec sa musique. On vous laisse vous régaler !

JazzRadio

23/05/24

JAZZ NEWS - Boney Fields - Just Give Me Some Mo

A 66 ans, Boney Fields continue de maîtriser son art, qu'il soit à la trompette ou au chant. L'artiste a dévoilé son nouvel album "Just Give Me Some Mo" en octobre dernier, un disque sur lequel on le retrouve au sommet de sa forme, bien que le projet ait été conçu pendant la période très troublée du CoVid, une vraie torture pour le musicien qui aimait tant la scène.

Maintenant que cette triste période est derrière nous, place à la joie et au groove, avec la sortie du clip du morceau éponyme de l'album, "Just Give Me Some Mo". Une vidéo dans laquelle les plans se succèdent très vite, ce qui colle bien avec le tempo de la musique. On y retrouve Boney Fields en train de distribuer de la joie à tout le monde avec sa musique et son sourire, le morceau parfait pour ce début de printemps.

"Just give me some mo"
JazzRadio

22/05/24

HISTOIRES DE JAZZ - Frank Sinatra - Il était secrètement amoureux de Jackie Kennedy


Frank Sinatra a rencontré Jackie alors qu'elle était la femme de John Fitzgerald Kennedy. A cette période, ils sont souvent en contact, le chanteur étant un proche du président. A la mort de JFK et après le mariage de sa veuve avec l'armateur grec Aristote Onassis, ils se perdent de vue. Mais, en 1975, de nouveau veuve, Jackie Kennedy s'établit à New York pour se lancer dans l'édition. Elle recontacte Sinatra pour que celui-ci écrive ses mémoires. Toujours amoureux d'elle, il tente tout pour la conquérir. Il l'invite donc à l’Uris Theatre où il est en résidence avec Ella Fitzgerald et Count Basie. Sous le charme, Jackie Kennedy craque. Mais cela ne dure qu'une nuit. Elle le quitte au matin et ne répondra à aucune de ses lettres qu'elle va même jusqu'à lui renvoyer...

JazzRadio

21/05/24

HISTOIRES DE JAZZ - The Rat Pack

Le Rat Pack, littéralement le "Club des Rats" était un groupe d’amis artistes, des chanteurs, des acteurs. Parmi lesquels on retrouvait Frank Sinatra, le chef de bande, Dean Martin, Sammy Davis Jr, Peter Lawford, Joey Bishop, Humphrey Bogart, Lauren Bacall... La légende voudrait d'ailleurs que ce soit Lauren Bacall qui les baptisa ainsi, un soir ou plutôt un petit matin, alors qu’ils rentraient tous ensemble de soirée, la mine plutôt fatiguée. L’actrice leur aurait lancé, en les voyant : "vous avez des mines de rats" ! Rien n’est confirmé et d’autres explications existent. Mais, celle-ci reste la plus drôle !

Cette joyeuse compagnie s’est rassemblée dans les années 50. Ces artistes étaient, alors, pour la plupart, débutants. L’union faisant la force, ce club leur a permis de s’entraider, de faire profiter aux autres de leurs relations, de leurs influences. Le très ambitieux Sinatra tissait déjà sa toile avec les fils du milieu de la politique et de la mafia.
Dans les années 60, The Rat Pack est devenu une bande copains cools et impertinents, qui se produisait sur toutes les scènes américaines. Mais, leur fief restait Las Vegas. Leurs concerts étaient émaillés de sketchs, de prises de paroles improvisées chaque fois plus drôles en fonction de leur état et leur humeur. Leur slogan, selon la légende, une fois de plus était "Avoir 3 verres d’avance sur le monde entier" et cela se voyait parfois sur scène...

Cette bande de copains talentueux, fêtards, flambeurs fut aussi tolérante avant l’heure, dans une Amérique raciste, en refusant, par exemple, de descendre dans les hôtels de Las Vegas qui n’accueillaient pas les Noirs.

The Rat Pack, une bande de copains dont beaucoup d’américains rêvaient de faire partie.

Benoit Thuret - JazzRadio


Live from Las Vegas

20/05/24

ANEDOCTES SUR FRANK SINATRA - Il ne savait pas lire la musique

Une des grandes particularités de Frank Sinatra, c'est qu'il aimait se faire prendre en photo avec des partitions devant les yeux en studio alors qu'il ne savait pas lire la musique. Né dans un milieu social défavorisé, son père était boxeur et surtout illettré. Forcément, il n'a jamais pu offrir à son fils des cours de musique. Frank Sinatra n'a donc jamais su lire de la musique. Mais, il avait un tel talent qu'il a finalement tout appris sur le tas et à l'oreille. La preuve, ce manque ne l'a jamais empêché de diriger ses orchestres avec brio !

JazzRadio

16/05/24

JAZZ NEWS - George Benson : un album rare retrouvé ! - This masquerade

"This masquerade"

Il sera disponible le 14 juin prochain !

En 1989, pour l’album "Dreams Do Come True", George Benson avait collaboré avec le célèbre compositeur-arrangeur Robert Farnon et son orchestre. Les arrangements luxuriants de Farnon complétaient à la perfection la voix et le jeu de guitare fluide de Benson sur des standards américains comme "Autumn Leaves", "At Last" et "My Romance". Cette fascinante sélection contenait aussi des relectures de classiques pop tels que "Yesterday" des Beatles et "A Song For You" de Leon Russell. En 1976, la version de "This Masquerade" de Leon Russell avait offert à Benson son premier succès et le Grammy Award du disque de l’année. L'album sera enfin disponible le 14 juin prochain. George Benson s'en est lui-même réjoui.

"Après avoir retrouvé ce trésor musical longtemps perdu, j’ai demandé à Randy Waldman, mon ami génial, de m’aider à le ressusciter. Mission accomplie."

Cet album marque un nouveau chapitre dans la carrière légendaire de George Benson. Entre 1976 et 1993, ce géant du jazz et de la pop contemporaine a sorti 12 albums studio pour Warner, dont "Breezin'". Cet album historique s'est hissé en tête des classements pop, R&B et jazz, et a valu à Benson trois des dix Grammy Awards qu'il a reçus. Certifié triple platine, "Breezin'" reste l'un des albums de jazz les plus vendus de tous les temps. En 2009, le National Endowment of the Arts (NEA) a décerné à George Benson le titre de Jazz Master, la plus haute distinction nationale pour un artiste de jazz.

JazzRadio

15/05/24

HISTOIRES DE JAZZ - Quelle est l’histoire de la chanson : "C’est si bon" ?

Saviez-vous que l’histoire de la chanson : "C’est si bon" était un peu coquine ?

Nouvelle histoire de jazz. On appris l'origine du nom, que la Nouvelle Orleans en était le berceau ou pourquoi on parlait de standard. Le diercteur de Jazz Radio, Benoit Thuret s'intéresse cette fois aux origines de la chanson "C'est si bon"...

"C’est si bon", un classique de la chanson français interprété par Yves Montand en 1948, est devenu rapidement un standard du jazz. La même année, la chanteuse Suzy Delair interprète ce titre, lors d’une Jam Session intitulée la "Nuit de Nice" programmée lors de la première édition du Nice Jazz Festival. Cette Jam Session se déroule dans le salon feutré du Negresco en présence de Django Reinhardt, Stéphane Grappelli et Louis Armstrong qui tombe amoureux de la chanson et en fera l’hymne au bonheur que l’on sait. Par la suite, ce sera au tour de Nat King Cole, Dean Martin, Abbey Lincoln, Michel Legrand puis plus récemment Thomas Dutronc accompagné de Diana Krall et Iggy Pop, de la chanter. Cette chanson a été utilisée dans de nombreux films, comme "Le loup de Wall Street" ou dans des séries telles que "Emilie in Paris" et on l'entend aussi dans de nombreuses pubs.

Cette chanson qui célèbre l’amour, la joie et la douceur de vivre au sortir de la guerre aurait des origines un peu plus coquines. La musique de "C’est si bon" a été composée par Henri Betti, alors pianiste-accompagnateur de Maurice Chevalier. Et la légende voudrait que ces quelques notes inoubliables lui furent inspirées lors d’une balade dans les rues de Nice. Il faisait très beau, le soleil irradiait le doux ciel de Méditerranée, il marchait en direction du centre-ville à la rencontre son père qui l’attendait pour disputer une partie de bridge. C’est alors que la déambulation du compositeur s’arrête nette devant la vitrine d’une boutique à la mode à l’époque. Le musicien est alors visiblement captivé par ce qu’il voit, charmé, séduit par ce qu’il observe dans la boutique. Henri Betti se met à rêver, les premières notes lui viennent à l’esprit tandis qu’il est charmé voire émoustillé par les tenues des mannequins derrière la vitre du magasin de la marque Scandale, célèbre marque française de lingerie féminine…

JazzRadio

14/05/24

JAZZ NEWS - David Sanborn légende du saxophone est décédé

"Hideaway"
C'est avec une immense tristesse que le monde de la musique apprenait ce matin la mort du saxophoniste américain David Sanborn. Le musicien est décédé à l'âge de 78 ans, le 12 mai 2024, à New-York, des suites d'un cancer du pancréas qui avait été diagnostiqué en 2018. Si le virtuose n'était pas forcément très connu du grand public, le monde de la musique, lui, a multiplié les hommages envers celui qui a traversé avec succès presque tous les courants musicaux des 60 dernières années.

Car on peut dire que David Sanborn aura exploré bien des horizons avec son saxophone, lui qui a commencé sa carrière dans l'orchestre de Paul Butterfield, avec lequel il est même monté sur la scène mythique du festival Woodstock en 1969. Il multiplie ensuite les collaborations avec des artistes ou des groupes de renom, comme Gil Evans, Stevie Wonder, James Brown, ou encore David Bowie, sur "Young Americans". Il aura aussi joué avec Elton John, BB King, Chaka Khan et de nombreuses autres stars.

A côté de tout ça, il n'a pas oublié d'enrichir sa discographie personnelle, avec plus de 20 albums au compteur dont certains, comme "
Hideway" en 79, auront marqué leur époque par leur justesse et leur inventivité. Il faut dire que le saxophoniste était aussi doué pour le jazz que pour le blues, ou encore le rock, et certains spécialistes le créditent même comme étant presque l’inventeur du Sax FM. C'est donc normal de voir le monde de la musique multiplier les hommages sur les réseaux sociaux en ce jour funeste. On transmet évidemment nos condoléances à tous ses proches, sa famille, ainsi que tous ceux qui ont eu la chance de le croiser en studio ou sur scène, où David Sanborn était très généreux avec son public.

JazzRadio

12/05/24

JAZZ NEWS - Judith Owen présente son nouvel album "Comes Alive"


Son premier projet live.

Le nouvel album de Judith Owen, "Comes alive", son premier en public, a été enregistré à Berne, en Suisse, à l’occasion d’une résidence d’une semaine au célèbre Marian’s JazzRoom et sort ce 10 mai 2024. Sa parution est accompagnée de dates de concerts dans le monde entier dont quelques-unes en France et d'un podcast hebdomadaire.

Audacieuse, sexy, intrépide, énergique et amusante : ces qualificatifs sont souvent utilisés pour décrire Judith Owen et son formidable groupe de musiciens basés à la Nouvelle-Orléans, The Gentlemen Callers. Avec un mélange étonnant de prouesses musicales et de personnalité qui ravit ses fans, ce nouvel album live de Judith Comes Alive fait suite à "Come On & Get It", son album publié à l’automne 2022. "Comes Alive" se compose de 16 morceaux, revisitant certaines des pépites présentées sur "Come On & Get It" et offrant de toutes nouvelles interprétations live de "Lady Be Good", "Teach Me Tonight", "Down With Love", "Skylark" et "Fever", pour ne citer que quelques-uns des titres inédits. Une fois encore, Judith se tourne vers la musique des "badass" ladies souvent méconnues du jazz et du blues des années 40 et 50.

JazzRadio

09/05/24

JAZZ NEWS - Sonny Rollins au générique de Bernard Pivot

"The night has a thousand eyes"
Le journaliste et homme de lettres Bernard Pivot est décédé ce lundi 6 mai 2024. Pendant des années, il a présenté une émission littéraire qui fait encore référence aujourd'hui, "Bouillon de culture" dont le générique n'était autre qu'un morceau interprété par le légendaire saxophoniste de jazz Sonny Rollins sur un rythme de bossa nova : "The Night Has a Thousand Eyes". Sur ce titre composé par Jerry Brainin, on retrouvait également le guitariste Jim Hall.

"Bouillon de culture" est une émission multiculturelle francophone, diffusée en direct du 12 janvier 1991 au 29 juin 2001 sur Antenne 2 puis France 2. Animée par Bernard Pivot, elle est tout d'abord programmée le samedi soir puis le dimanche soir avant de se retrouver très rapidement repositionnée le vendredi soir, dans le même créneau horaire qu'"Apostrophes", à qui elle a succédé en 1990. Bien que vouée à l'origine à toutes les formes de culture, elle se concentre principalement sur la littérature.

"The Night Has a Thousand Eyes" est une chanson composée par Jerry Brainin, avec des paroles de Buddy Bernier pour un film sorti en 1948, "Night Has a Thousand Eyes". Cette chanson est ensuite devenue un standard et a été interprété par John Coltrane, Horace Silver, UAB SuperJazz (avec Ellis Marsalis), Harry Belafonte, Paul Desmond (avec Jim Hall), Toshiko Akiyoshi, Pharoah Sanders, Irene Kral, Harry Beckett, Petula Clark, Gloria Lynne et Carmen McRae.

La version à la sauce bossa nova de Sonny Rollins a donc été popularisé en France par l'émission de Bernard Pivot. C'est une façon aussi, pour nous, de saluer ce grand homme de télévision mais aussi et surtout de lettres.

JazzRadio

04/05/24

JAZZ NEWS - Stacey Kent - Summer me winter me


Stacey Kent de retour avec une version deluxe pour "Summer Me, Winter Me"

La chanteuse américaine Stacey Kent a bien terminé l'année 2023, avec la sortie de son tout nouvel album "Summer Me, Winter Me" en novembre dernier. Un disque très attendu par les fans de la chanteuse, qui sont très nombreux à travers le monde puisqu'elle a toujours exploré un univers musical très large dans tous ses projets. Son dernier album contient d'ailleurs des compositions de Jacques Brel, ou encore de Michel Legrand, c'est pour ça qu'on l'apprécie autant ici en France.

Pour ceux qui n'avaient pas été rassasiés par cet album de la chanteuse, Stacey Kent a décidé de l'étoffer en sortant une "version deluxe" pour "Summer Me, Winter Me". Une version deluxe qui sera disponible le 3 Mai, exclusivement en format numérique (via les plateformes de streaming notamment, on l'imagine) et dans laquelle l'artiste a rajouté deux chansons cultes de son répertoire : "Solitude", de Duke Ellington, revisitée par ses soins, ainsi que "I Have The Feeling I Have Been Before" de Roger Kellaway.

JazzRadio

02/05/24

MUSIC - Les incontournables de Count Basie - The Kid from Red Bank


"The Kid from Red Bank" est un autre classique de l'orchestre Count Basie. La chanson a été composée par Neal Hefti et a été enregistrée en 1957. Elle possède un rythme vif et optimiste qui vous donnera envie de bouger alors que le piano et les cuivres jouent la mélodie à tour de rôle puis que le solo de trompette apporte des lignes lumineuses et jazzy. Le titre de la chanson fait référence à la ville natale de Count Basie et est devenu un hommage bien-aimé à la légende du jazz.

JazzRadio

01/05/24

MUSIC - Les incontournables de Count Basie - Splanky

Count Basie et son orchestre ont été des pionniers de l’ère swing dans le jazz, produisant plusieurs succès comme "Splanky", un morceau Count Basie enregistré en 1956. La chanson possède un rythme fort et swingant caractéristique du son Basie. L'intro au piano donne le ton au reste du morceau, et les cuivres et la batterie arrivent avec un rythme entraînant auquel il est impossible de résister. Le solo de saxophone au milieu de la chanson débarque avec des lignes douces et émouvantes. Le nom de la chanson vient du surnom donné à Basie par les membres de son groupe et elle est depuis devenue un classique du jazz.

JazzRadio

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Ce blog, qui a démarré le 22-10-2011, s'arrête. Provisoirement (ou pas...) Si faute il y a, elle serait dûe à une faute d'inspirati...